A Napoléon : Moi, le jour comme le soir.
J' avoue qu' il m' arrive de me caresser les fesses devant le miroir pour admirer mon galbe. Et le soir sous mes couettes je me caresse aussi , de ma main j' imagine que ce soit une main féminine. J' arrive à me faire mal psychiquement, rien qu' en imaginant la fesseuse en train de me faire la fête, je la vois grande, blonde vachement stricte, jolie femme " distinguée " du style Mathilde Seigner mais en plus grande et caractère vraiment trempé LOL.
Il y... more
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